Une simulation sur une zone urbaine très dense – à Paris – a été réalisée afin d’évaluer l’évolution de l’exposition avec un déploiement de la 4G, sur les supports et fréquences actuels.

On y voit très clairement l’augmentation du nombre de points surexposés.

Ces travaux présentés en mars 2019 par l’Agence Nationale des Fréquences confirment la tendance observée par notre association depuis 2017.

Comme l’habitat social concentre la majorité des antennes,

La CLCV en appelle à la responsabilité des bailleurs et de la Commission de téléphonie mobile dont le rôle sera décisif sur la qualité des dossiers des opérateurs et la prévention des points surexposés.

Mot clé : Environnement